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PUPPET - MCBYRNE
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 POUPÉE DE CHIFFON
elle voulait hurler, crier aussi fort qu'elle le pouvait et pourtant rien ne voulait sortir de sa gorge comme muette, le souffle lui manquant, couper un instant. il en est fini le temps ou le peu de liberté qui lui était accorder était encore entre ses doigts. plus rien même plus cela, même son destin amoureux. la voilà obligé, bloquer emprisonné dans cette que personne n'aurait du pouvoir lui voler. foutaise, encore un mensonge, silencieux, dans l'ombre d'un instant et qui maintenant venait brûler l'instant. simple jouet, pantin d'une famille s'amusant à la contrôler ! non elle ne pouvait l'accepter. elle tourna les talons encore et encore tournant en rond sans cesses, inlassablement dans sa chambre cherchant une solution à cette colère la rongeant. elle ne pouvait plus vivre, elle ne pouvait plus l'accepter, d'être prisonnière de ce faux conte de fée. les poings avaient frappés les murs, elle avait grognée sans pourtant pouvoir hurler. devait-elle fuir ? devait-elle en finir ! elle ne savait que faire et aucune réponse ne venait à elle ! rien, rien de rien. elle hurla enfin de colère perdant toute force et tombant à terre. elle soupira cognant le sol de ses mains et de ses pieds, à même le sol ne désirant plus bouger. rien, aucune réponse ne venait, l'obligation pointant son nez et pourtant elle s'y refusait.. elle soupire tentant de se calmer, mais rien n'y faisait, alors elle se leva d'un bon faisant claquer ses talons contre le sol passant de pièces en pièces de couloirs en couloirs cherchant l'unique personne pouvant l'aider, l'unique personne pouvant la guider sur ce chemin défectueux. elle passa les portes avant de le trouver assis là, lisant un journal sans même se douter que la jeune femme allait débarquer. les talons qui claquent elle s'avance lui arrache le journal des mains et le balance au sol « tu étais au courant ? » elle venait de l'agresser verbalement, le ton de sa voix aucunement calme. elle était énervée, en colère, jamais personne n'avait lu sur son tendre visage une colère aussi forte, aussi destructrice. la poupée la douce avait changée, elle ne pouvait pas se laisser faire, non pas cette fois ! pourtant le silence restait là, jack ayant posé son regard protecteur sur elle et c'était bien la première fois qu'il n'avait aucun impact sur elle. elle croisa les bras sur sa poitrine le fixant du regard « RÉPOND ! » elle avait hurlée.. presque à bout de force, comme si la vie était en train de elle avait hurlée.. presque à bout de force, comme si la vie était en train de la quitter.. non elle ne pouvait pas écouter son père, elle ne pouvait pas s'amouracher de ce stupide homme de main trop fier, trop sale, ne lui ressemblant aucunement. non elle ne pouvait l'accepter et hurler était son unique moyen de souffler. elle fit volte face, surement pour ne pas à avoir à le regarder en face. non, elle ne pouvait pas croire qu'il approuvait cette situation, pas lui, pas jack.. pourtant son silence ne disait déjà long, comme si cette décision avait été prise en famille..
Mar 2 Oct - 21:43
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Puppet
Votre repère. Ca sentait le stupre à chaque détour de couloir. Âpre fragrance capable d'avouer les pires déviances de ces lieux, de cette maison de passe dans laquelle les filles, les mecs, se faisaient baiser pour quelques billets jetés à la gueule, venant enrichir les proxénètes que vous êtes. Toi, tu ne touchais jamais à la marchandise, tu la regardais à peine, comme si ces vies t'indifféraient, qu'elles n'avaient pas la moindre importance. Ce n'était pas ton rôle de gérer directement les trafics, t'avais déjà bien assez à faire. Tu les côtoyais, tu lorgnais sur les courbes aguicheuses, mais tu n'en profitais pas toi-même. Certains diraient que tu avais beau être dans le métier, t'avais un cœur qui battait dans ta poitrine, et si tu te faisais de l'argent sur leur dos, tu n'abusais pas de ta position. Peut-être. Que c'était ça la raison. Peut-être que tu trouvais bien assez à baiser sans avoir l'impression d'obliger la personne en face de toi à le faire juste parce que c'était tes employés.

Refrain
I’m not evil to the core
What I wanna save I will try


Installé dans un fauteuil, un journal entre les mains, à scruter les faits divers les plus insignifiants, à grappiller les informations qui semblaient n'avoir aucune importance. Tu la vis arriver, cette furie blonde en colère, celle que tu savais qu'elle finirait par venir te trouver. Forcément. Parce que tu avais laissé l'honneur à Mateo de lui annoncer la nouvelle de son mariage arrangé. Il avait manqué de s'étouffer de rire quand son cousin avait tenté de le convaincre de le faire à sa place, parce que ça passerait mieux. A vrai dire, ça n'aurait rien changé, tu en étais certain. Et la réaction de Léa ne fit que te le confirmer, alors qu'elle t'arrachait ton journal pour le jeter au sol. T'obligeant presque à lever les yeux sur elle, à voir cette colère qui la rongeait. Parce que tu savais que tu aurais toi-même pété les plombs si Mateo t'avait annoncé un beau matin que tu devais épouser une fille pour le business, pour une putain d'alliance à la con. Peut-être était-ce d'ailleurs la raison pour laquelle cela ne s'était encore jamais produit, ton cousin te connaissant un peu trop bien.

Refrain
I’m not evil to the core
What I wanna save I will try


Mais même si Léa avait l'impression que son père voulait désespérément lui pourrir la vie, tu savais qu'il ne faisait cela que pour la protéger, la préserver, la garder en sécurité au sein de la famille, dans les bras d'un type qui avait mérité sa confiance. Pas ton premier choix. Mais même si tu la considérais comme la tienne, si elle était comme ta nièce, ce n'était pas ta décision qui primait. Ta loyauté à Mateo t'interdirait toujours d'aller contre sa volonté la concernant, même si tu savais que pouvait la protéger tant que tu le voudrais, la garder à l'œil lorsque ton cousin te le demandait était devenu comme une vieille habitude ayant la vie dure. Parce que tu l'aimais la Puce. Même alors qu'elle te demandait si tu savais, toujours aussi furieuse, venant insister pour que tu lui donnes une réponse, indifférente au regard protecteur que tu posais sur elle. Elle avait besoin de te l'entendre dire, que tu savais, que cette décision, tu aurais pu la lui glisser toi-même, parce que tu n'y avais rien trouvé à redire.

Refrain
I’m not evil to the core
What I wanna save I will try


« Ton père m'en a parlé, oui. » Ca tombe. Couperet de misère. Réalité fourbe que tu lui déversais sans tremblement, sans hésitation, mais avec une douceur ferme.
« Qu'est-ce que tu reproches à Rafael ? Tu te plaignais que ton père ne te laissait pas approcher d'homme... il t'en offre un. » Comme sur un plateau d'argent. Tu lui balançais tes arguments avec assurance, sans la quitter des yeux, ta puce qui te tournait délibérément le dos comme si tu l'avais trahie. Ca ne te plaisait pas. Tu n'aimais pas ça. Tu tenais trop à elle pour la laisser s'éloigner pour un arrangement auquel elle se ferait, ou auquel elle trouverait le moyen de mettre un terme. Elle était trop rusée pour ne pas trouver une feinte.
« Je t'aurais bien épousée moi-même, mais l'inceste, tout ça... mais je lui en collerai une moi-même s'il te fait du mal. » T'étais sérieux, tu l'avais peut-être même jamais été autant avec elle, en abordant la seconde partie de ta phrase, quand la première était plus taquine.

code by EXORDIUM. | Twenty One Pilots


Mar 2 Oct - 22:42
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 POUPÉE DE CHIFFON
« Ton père m'en a parlé, oui. » et le monde s'écroule. la respiration qui se bloque, perdant un instant, le souffle coupé. voilà que tout le monde avait prit la décision de se liguer, de l'envoyer valser dans les bras de premier passant. jack, lui, son unique et véritable allié venait de la poignarder. elle souffla un instant comme cherchant son souffle, comme cherchant à respirer à ne pas en crever. hurler encore et toujours elle voulait hurler à la morte, s'écrouler et disparaître dans l'intensité. pourtant elle devait être forte, montrer que tout aller s'arranger qu'elle trouverait bien une solution à cette situation détester. pourtant elle le savait cette décision serait compliquée à effacer, son père était plus que décider à la jeter dans les bras de cet homme de main si parfait.. elle n'en voulait pas, pour tout l'or du monde elle n'en voulait pas. elle soupira une nouvelle fois, comme pour trouver un sens à tout cela comme cherchant une issue de secours alors que toutes les portes autour d'elle étaient en train de se refermer. elle allait en crever. elle resta un petit moment sans bouger cherchant les mots cherchant à se relever, pourtant elle ne savait plus comment y remédier. « Qu'est-ce que tu reproches à Rafael ? Tu te plaignais que ton père ne te laissait pas approcher d'homme... il t'en offre un. » un petit rire non comique passa ses lèvres, il se foutait bien d'elle. mieux que quiconque il le savait elle rêvait un jour de tomber amoureuse comme dans les belles histoires. simplement, trouver quelqu'un qui accepterait tous ses mauvais côté et qui ne la laisserait jamais tomber. là, on lui offrait un gars sans intérêt, on lui refourguait pour mieux la contrôler, la garder dans les rangs et éviter tout débordement. foutaise. elle lui fit enfin face un pas un avant croisant les bras sur sa poitrine « ce que je lui reproche ? tu me poses vraiment la question ? » elle haussa un sourcil avant de soupirer de désespoir, alors il ne la comprenait plus, il l'avait totalement perdue. « vive le cadeau ! un homme de main ! non mais sérieusement ? » elle soupira se calmant un peu avant de venir s'affaler à côté de lui dans le fauteuil adjacent au sien. elle remonta ses jambes vers elle comme pour se protéger de toute attaque extérieur comme pour s'enfermer avec elle-même et ne plus subir cette satané situation la rongeant de l'intérieur. « Je t'aurais bien épousée moi-même, mais l'inceste, tout ça... mais je lui en collerai une moi-même s'il te fait du mal. » elle soupira.. elle le savait, jamais jack ne le laisserait lui faire du mal, même si, il faut le dire jamais léa ne laisserait ce gars la toucher de quelques manières qui soient.. encore un soupire, un désir de fuir, une obligation la détruisant fortement.. elle n'en veut pas, elle refuse de subir tout cela et pourtant quand elle y réfléchie rien ne vient à elle, aucune solution rien. « jack pourquoi fait vous cela ? » une question.. simple et pourtant si vaste et compliquer à répondre.. elle avait besoin de le savoir, pourquoi sa famille avait prit cette décision de l'envoyer dans les bras d'un homme de main ayant simplement fait ses preuves une multitude de fois.. autant la laisser seule, autant ne pas l'obliger et juste l'interdire de se faire approcher. cette idée elle l'avait digérée depuis quelques années qu'aucun homme n'avaient le droit de l'approcher, ça c'était une situation qu'elle avait assimilée.. mais là.. l'obliger.. non elle ne pouvait pas s'y résigner.
Mer 3 Oct - 17:24
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