Le deal à ne pas rater :
Display One Piece Card Game Japon OP-08 – Two Legends : où la ...
Voir le deal

 :: DETROIT, MICHIGAN :: DISTRICT SUD :: Résidences Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Pile je gagne, face tu perds ft Léa
Invité
avatar
Invité
FT. Léa
Devant son miroir, il mettait la dernière touche à son costume trois pièces hors de prix. Un magnifique nœud papillon noir. Un gentleman dangereux. C’était souvent comme cela qu’il se définissait. Toujours tiré à quatre épingles, mais capable de prendre des décisions radicales. Comme ce soir-là, il avait un plan. Une seule personne dans le viseur. Une magnifique créature innocente mais qui était la clé de la réussite de sa nouvelle alliance. Léa McByrne. Est-ce qu’il était prêt à se servir d’une jeune femme pour lier une nouvelle alliance avec le dernier gang de Détroit ? Quelle question ! Il n’avait pas honte de le dire, les affaires avant le plaisir. Et puis, la demoiselle était plutôt appétissante. Il n’aurait pas vraiment à se forcer dans une chambre. Même si ce n’avait pas été le cas, l’alliance avant tout. Son nœud papillon parfaitement installé autour de son coup, il m’y sa veste et se dirigea vers l’ascenseur. C’était vraiment un plus de posséder son propre immeuble. Il avait juste à prendre l’ascenseur et le voilà à la fête. Très pratique pour l’after bed room. Pendant la descente, il tenta de se remémorer son plan. Être surpris. Jouer les innocents. Exactement, lorsqu’il l’avait bousculé dans ce Starbuck. Pourtant, malgré qu’il devait s’intéresser à cette petite Léa, il ne devait jamais quitter Matéo des yeux. Être charmant, respectueux. Un dernier regard dans la glace de l’ascenseur et les portes s’ouvrirent sur l’énorme hall où de nombreux invités étaient déjà arrivés et se dirigeaient vers la salle de bal. Une soirée noir et blanc pour son association pour aider les enfants d’Afrique. Même s’il aidait les enfants, elle lui servait surtout à blanchir de l’argent pour un des gangs de la ville. Un sourire sur les lèvres, il se dirigea vers le hall pour faire sa grande entrée. Qu’est-ce qu’il détestait ces modalités ! Sourire. Être aimable. Alors qu’il aurait pu être à son bureau pour gagner un peu plus d’argent. Encore mieux, dans son lit, une ravissante femme nue dans son lit, tentant de refaire le Kamasutra. Tout était mieux que d’être là, avec des groupies prêtes à ouvrir les cuisses devant tout le monde. Des femmes mariées qui lui laissaient leur numéro. Des hommes prêts à lui lécher les pieds pour qu’il investisse dans leur projet. Il était en train de serrer la main d’une cinquantième personne, lorsque Mateo arriva devant lui, accompagné de sa proie. Levée de rideau. Jeu d’acteur. Il prit un air surpris. « Messier Olson, merci pour l’invitation. Je vous présente ma fille Léa. » Il serra la main de l’homme mais son regard se porta sur la charmante jeune femme. Un sourire aux lèvres. « Et bien, Mademoiselle Starbuck, vous êtes venues me rendre ma nouvelle chemise ? » dit-il avec un clin d’oeil. Cette première rencontre avait vraiment été parfaite. Une bousculade. Le café de la jeune femme sur sa chemise. Le hasard. Puis, il reporta son regard sur le patriarche. Pour deux raisons, la première, moins on apportait d’attention à une femme, plus, elle en voulait. Deuxièmement, la jolie Léa avait beau être plus qu’appétissante, et il avait déjà des millions de fantasmes érotiques de la voir dans cette robe, il n’oubliait pas pourquoi il était là. « Matéo et si on oubliait les formalités. Deyan sera parfait pour vous. C’est moi qui devrais vous remercier pour votre présence. Faites comme chez vous et surtout dépenser sans compter pour les enfants d’Afrique. » dit-il avec un large sourire. Toujours jouer un rôle. Du coin de l’oeil, il ne quittait pas la charmante jeune femme. Il venait de trouver comment lier affaire et plaisir.
[/right]

(c) ANAPHORE
Dim 30 Sep - 14:16
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
Pile je gagne, face tu perds ft Léa 1538316687-deya3
   TU BRULERAS ENTRE MES DOIGTS. 
elle râle la poupée, elle ne veut pas y aller, pour encore se faire voir et pavaner, aucune envie de bouger. elle sert les dents et lâche un faux sourire avant de tourner les talons pour les laisser claquer au sol. encore une soirée où elle doit servir de poupée de beauté au bras d'un père redouté. elle n'aime pas cela, simple bibelot que l'on expose pour attirer les regards, encore une fois elle devra faire semblant de sourire et de passer un moment agréable. foutaise, mensonge, elle déteste cela, la mondanité, les faux sourire et les préjugés. pourtant, elle n'a pas le choix, elle doit trouver sa chambre et se vêtir d'une robe noire ou blanche. elle devrait mettre celle-ci recouvrant son corps en entier, ne laissant aucunement paraître un fragment de peau, cela lui ferait les pieds. elle n'est gère comme cela la poupée, avec toutes les intentions possible elle ne pourrait enfiler un bout de tissu aussi peu décolleté. elle fouille retourne et retourne avant de poser la main sur la perle tant convoitée. longue robe noire au décolletée agréable a regarder et au tissu ne recouvrant pas son corps assez. son père serait ravie de l'avoir à ses côtés. elle l'habit, se coiffe se maquille, glisse ses pieds dans une paire de talons hauts, perfecto sur les épaules la voilà prête à faire semblant, prête à mentir et à sourire aux gens. elle retrouve son paternel tout aussi bien vêtu, prêt à écouter se fameux olson lui vendre ses services. encore une histoire de fric, encore un pacte avec le diable qu'un pauvre fou à décider de signer, ne sachant guère qu'il allait surement en crever. surement un gamin, un de ses bambins pourris par le fric et n'ayant trouvé comme moyen de survivre que d'offrir ses services. cela l'exaspère, ses enfants de riches, toujours prêt à donner leur sang pour un peu plus d'argent. elle sourire, s'installe dans la voiture et laisse le courant l'emporter.

les voici arrivés, l'entrée qui se fait forcement remarquer, quand un chef de gang passe une porte ils sont obligés de regarder, comme si dans ses yeux il avait de quoi les flinguer. léa le suit, sans vraiment sourire, faisant semblant d'être là pour se divertir. elle observe la salle, espérant trouver de quoi passer le temps, et c'est cette voix qui résonne prêt d'elle qui lui rend la tâche moins formelle. son père la présente, obligation de tourner la tête pour feindre une once de politesse. pourtant ce sourire ce regard pompeux, lui est bien trop familier.. « Et bien, Mademoiselle Starbuck, vous êtes venues me rendre ma nouvelle chemise ? » son père la toise un moment espérant lire en ses yeux une réponse correcte à cette interpellation. elle n'a pourtant pas le temps de répondre « Matéo et si on oubliait les formalités. Deyan sera parfait pour vous. C'est moi qui devrais vous remercier pour votre présence. Faites comme chez vous et surtout dépenser sans compter pour les enfants d'Afrique. » elle se met à rire, un petit rire presque macabre qui l'irrite. gamin plein de fric, plan plein la tête mais, n'ayant pas prit en compte que la jolie colombe l'avait déjà alpagué sous ses ailes. deyan gamin gâte, aux ambitions inavoué l'avait bien piégé. les voici l'un face à l'autre se toisant du regard, espérant secrètement que la douce n'aie aucunement comprit son manège.« Tu devrais aller prendre un verre, je te rejoins » elle avait doucement lâchée le bras de son père pour le laisser faire quelques pas en arrière. un regard échangé et il avait compris qu'il devait les laisser, même si de loin il garderait à l'œil le gamin toisant sa fille d'un regard qu'il n'aimait pas. ainsi fait léa reporta son regard sur deyan lui faisant face. « moi qui pensais que tu n'étais qu'un pauvre étudiant en mal de café » faux sourire qui passe sur ses lèvres rouges carmin, retirant alors sa veste pour lui déposer entre les mains laissant apparaître sa peau dénudée « ton personnel ne fait vraiment pas correctement son travail » une main dans ses cheveux elle était prête à jouer, car sans qu'il ne le sache elle l'avait suivi et espionner, et le jeu ne faisait que commencer.
Dim 30 Sep - 14:59
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
FT. Léa
Toujours joué un rôle. Depuis toujours il avait une casquette. A l’école, il était l’enfant heureux, dont personne ne connaissaient l’existence des bleus sur son corps. Après la reprise des rennes de l’entreprise, il était devenu un homme froid et manipulateur. Ce soir, il devait être le mec charmant. Il savait que la jolie blonde se douterait de quelque chose. C’est vrai, quelle est la probabilité que le beau gosse rencontré par hasard autour d’un café, soit le riche, Deyan Olson qui doit faire affaire avec son père. Il devait la jouer fine. Ce n’était pas dans ses habitudes. Il était plus du genre à foncer et ensuite réfléchir. Pourtant, il aimait le jeu. Il aimait la traque. Ce n’était pas sa faute si les gens rendaient les armes un peu trop vite. Cependant, là, il eut juste à croiser le regard de cette merveilleuse créature pour voir qu’elle ne renoncerait pas sans combattre. Très bien. Il aimait beaucoup jouer avec la nourriture. Il voulait se contrat. Il la voulait dans son lit surtout avec le peu qu’il pouvait voir avec son manteau sur le dos. Il voulait plus d’argent. Mateo avait l’air plutôt surpris. En même temps, c’était le but. Effet de surprise. Lorsqu’elle ouvrit la bouche, pour éloigner son père, il fut assez surpris. Tiens donc. On a pas besoin de papa. Voilà qui était intéressant. Il regarda le chef partir, sous les ordres de sa fille. Un sourire n’avait pas quitté le visage du gentleman. Reportant, un regard sur elle, il vit de la colère dans ses yeux. C’est ça. Plus tu seras en colère, plus je pourrais placer mes pions. Se dit-il. Lorsqu’elle ouvrit de nouveau la bouche, il ne put détacher ses yeux de ce rouge. Il eut soudain envie d’y goûter. Mon dieu. Il était incorrigible. Elle lui tendit son manteau et d’un geste, il le posa sur le bras d’un serveur qui passait par là, sans la quitter des yeux. Alors, la petite fille naïve, ne l’était pas. Elle avait même un tempérament de feu. De tigresse. Tant mieux. Ce serait encore plus drôle et jouissif de la voir se soumettre. « Je suis assez flatté. Un jeune étudiant ? Tu me donnes quoi vingt ans. Je devrais payer plus cher mon chirurgien. » dit-il avec un sourire. Il attrapa deux coupes sur un plateau et en tendit une à la jeune femme. Avant de trinquer avec elle. Sans jamais la quitter des yeux. Il savait très bien ce qu’on pouvait lire dans ses yeux. Du désir. De la détermination. Du danger. « Et si on jouait franc jeu tous les deux ? C’est ton père qui t’a envoyé dans ce café pour me surveiller ? » Il porta la coupe à sa bouche. Jouer l’ignorance. Il avait plus d’une carte dans sa manche. Il jouait des rôles depuis tellement longtemps qu’il pouvait passer du gentleman, au mec dangereux, au philanthrope en moins d’une minute. Alors que les deux personnes se faisaient un duel du regard, un homme vint se présenter. « M. Olson, merci pour l’invitation... » Il n’eut pas le temps de finir car Deyan avait attrapé le bras de la jeune femme et l’emmenait à l’écart. Là, où le monde autour de lui n’était pas aussi important. Il fallait qu’il joue le mec énervé d’avoir été trompé. « Alors, dis moi, ton père me pensait aussi naif. Il pensait vraiment que j’étais aussi stupide pour tomber tout droit dans les bras de sa fille ? » Bordel. Il mériterait un oscar. Le meilleur rôle de sa vie.
[/right]

(c) ANAPHORE
Dim 30 Sep - 16:27
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
Pile je gagne, face tu perds ft Léa 1538316687-deya3
   TU BRÛLERAS ENTRE MES DOIGTS. 
jeu dangereux de venir titiller la jeune poupée. la puce sait, elle connait, elle se renseigne et arrive toujours à connaitre les détails inavoué de vie bien caché. elle est ce qu'on peut nommer une experte en ce qu'elle fait. personne ne sait qu'elle ne sait plus qu'elle aime le montrer. toujours avoir une longueur d'avance toujours jouer un tour de plus pour ne pas se faire avoir et pouvoir quoi qu'il puisse arriver une manière de bifurquer. elle parait bien trop sage, innocente sous ses voilage, sous ses yeux de biche, sous ses allures de petite fille. ils l'oublient souvent, elle est insignifiante et inexistante, et pourtant elle mène d'une main de maître son affaire en silence. là voilà maintenant au centre des affaires de son père, ce jeune homme ayant eu vent qu'avoir léa dans la poche lui permettrait d'avancer correctement. foutaise, mensonges, mal renseigné sur le cheval sur lequel il vient de parier. alors elle fait mine de ne rien savoir et se laisse charmer, comme si de rien n'était sachant pertinemment qu'au loin son père garde à l'œil sa petite fée. elle s'en amuse de savoir qu'elle peut jouer qu'elle peut tenter de le manipuler et de le faire sombrer. jamais elle ne laissera son père signer le moindre papier avec ce gamin friqué ! « Je suis assez flatté. Un jeune étudiant ? Tu me donnes quoi vingt ans. Je devrais payer plus cher mon chirurgien. » faire la gamine naïve et insouciante, comme si leur rencontre n'était que du vent. elle s'amuse même à en rire, comme pour le faire rougir, poupée charmée, enfin c'est ce qu'elle aime à lui faire doucement penser. il arrache à la voler deux coupe de champagne tel un gentleman, même si doucement dans ses yeux elle sens venir un vent contraire à sa première approche. « Et si on jouait franc jeu tous les deux ? C'est ton père qui t'a envoyé dans ce café pour me surveiller ? » elle lève un sourcil comme si elle ne comprenait pas ce qu'il voulait lui dire buvant sa coupe tranquillement tout en laissant les passants saluer leur hôte et la dérangeant. la coupe vide elle là laisse la fuir sur un plateau passant avec qu'un énième candidat vienne le remerciant de son hospitalité. malheureusement il ne peut plus les entendre, comme s'il n'attendait qu'une chose c'est qu'elle lui avoue qu'elle l'avait suivie durant un temps. il l'attrape alors par le bras et la tire plus loin, loin des regards indiscrets, là où personne ne viendra les déranger. « Alors, dis-moi, ton père me pensait aussi naïf. Il pensait vraiment que j'étais aussi stupide pour tomber tout droit dans les bras de sa fille ? » voilà que l'enfant prodige pique sa colère ! cela la fait intérieurement sourire, car il devrait s'en douter à force de fricoter avec les gangs, ont est toujours observé. elle recule alors d'un pas lui faisant lâcher le bras, le regard confiant, n'ayant aucunement peur un instant. l'habitude surement de recevoir des menaces d'hommes six fois plus grandes qu'elle, ou alors simplement la connaissance qu'un jour l'un deux aura sa peau. elle s'humecte délicatement les lèvres avant de venir lui répondre d'un ton dès plus calme « crois-tu que tu es assez important pour que mon père daigne t'espionner ? » silence « et par moi ? sa petite fille chérie qu'il aime garder en sécurité ? » mensonge. elle laisse alors une main se poser sur le torse du jeune homme se rapprochant alors de lui, collant alors ses lèvres à son oreille, et elle dit « si mon père avait voulu en savoir plus sur toi, ta belle gueule d'ange n'en serait pas là » elle eut un petit sourire avant de reculer et de prendre le large. elle traversa la salle d'un pas assuré et élégant retrouvant son père occupé à discuter avec d'autre personne influant. la voilà la faille, ne pas déposer les armes, laisser croire dans des silences que c'est lui qui possède la main, le laisser jouer, s'empourprer doucement dans ses idées, lui laisser croire que oui elle est bien là pour faire jolie et non pour qu'il craque. le jeu, toujours jouer, toujours et encore.
Dim 30 Sep - 17:11
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
FT. Léa
Il fallait jouer les étonnés jusqu’au bout. Elle n’allait rien comprendre la petite. Surtout qu’il se doutait de son intelligence. Sous ses airs de petite princesse, il voyait bien la femme dangereuse. Tant mieux. Un adversaire à sa taille. S’il avait dû séduire, une pauvre petite fille à papa qui serait tombée dans ses bras après la première promesse, il se serait ennuyé. Le jeu. Rien ne compter plus que de jouer. Faire tomber les têtes. Poser ses pions au bon moment. Il l’avait emmené à l’écart, comme s’il avait peur. Lui peur. La bonne blague. Mais, c’était assez drôle à jouer. Il ne la quitta pas des yeux. Il fallait reconnaître, que sous trop pleins de mascara se cachaient des yeux magnifiques. Dans lesquels, on pouvait vite se perdre lorsqu’on était le prince charmant. Soudain, sa langue vient caresser sa lèvre. La petite dévergondée, elle jouait avec lui, et ça marchait. Ce serait mentir, s’il ne disait pas que ce simple geste l’exciter. La partie avait enfin commencé. Si au début, il voulait la séduire pour atteindre son père. Son côté rebelle et son franc-parlé l’attiraient. Il voulait la dompter. Remporter la partie. Sans trop savoir quel était le but du jeu. Lorsqu’elle parla, il ne put s’empêcher de sourire. Tiens tiens. La petite n’était pas si maligne que ça. Soit elle faisait semblant d’ignorer qui il était. Soit il avait l’avantage sur elle. Cependant, elle laissa passer un petit indice. Il avait eu raison de miser sur elle. Le bébé à son papa. Le point faible de Mateo. Elle se rapprocha de lui, et vint lui murmurer à l’oreille quelques mots à l’oreille. Bordel. S’il était excité avant ça, maintenant il était au bord de l’explosion. Il jouait dans un autre niveau. Elle n’était pas une fille de bas étage. Une prostituée, qu’il pouvait manipuler sans trop de problèmes. Une petite princesse à son papa qui ne demandait que l’attention d’un homme. Non, elle était la fille d’un trafiquant. Elle n’avait peur de rien. Peut-être que la petite brebis était plus proche du loup, après tout. Il la laissa s’éloigner. Autant, lui laisser croire qu’elle gagnait. Flatter son ego. Il termina sa coupe. Serrant quelques mains. Laissant deux trois filles le draguer. Il laissa s’écouler vingt minutes. Lui laisser penser que la partie était terminée. Alors, qu’elle ne faisait que commencer. Soudain, il se rapprocha du père et de sa fille. Il s’approcha doucement. « Mateo, accepterez-vous que j’invite votre fille à danser ? » Il le regarda avec un air suspicieux. Avant que le patriarche put répondre, il prit les devants. « Vous inquiétez pas. Je ne tenterais rien, j’ai bien trop de respect pour vous et pour nos affaires, mais tout le monde ici sait qui vous êtes et à part, moi, personne n’osera l’inviter. » Il y ajouta un large sourire innocent. S’autorisa même un regard vers la serveuse pas aussi appétissante que la princesse, mais fallait bien, laisser croire qu’elle ne l’intéressait pas. « Un bal aussi important, on ne peut pas laisser une charmante jeune femme seule. Et puis, elle me doit une chemise alors, je l’échange contre une danse. » C’était dingue comment, il arrivait à avoir ce qu’il voulait. Bon, Mateo n’était pas simple non plus. Mais, même s’il était hésitant, Deyan savait très bien que cette affaire serait plus que bonne pour les affaires des McByrne. Il fallait juste lui rappeler. Il se passa trente secondes avant que le patriarche n’ouvre la bouche. « Je sais que vous ne tenterez rien de stupide. Nous avons tous les deux besoins de ce contrat. Mais, je vous ai à l’oeil. » Sans attendre, Deyan proposa son bras à la jeune femme. Enfin, il lui prit le bras pour l’entraîner vers la piste de danse. Il ne voulait pas qu’elle se défile. À cette heure, c’étaient encore des valses. Il était bien trop tôt pour que les papy et les mamies se couchent. Arrivés au milieu de la piste, il la fit pivoter, posa une main sur ses hanches et de l’autre attrapa sa main. Il se colla à elle, un peu trop par rapport à la limite imposée par la valse. « J’ai bien l’impression que ton père et moi, on s’entend plutôt bien. Peut-être que j’ai de l’importance après tout. » dit-il en commençant à la faire danser. Plutôt doué. En même temps, il était un gentleman en costume. Leurs regards étaient fixés l’un à l’autre. Chacun se défiant. « Donc, si je comprends bien. Notre première rencontre était un hasard. Et c’est le destin qui nous réunit ce soir. » Doucement, il fit glisser sa main, un peu plus bas.Presque au niveau de son derrière. « Je crois pas au destin, princesse. Mais l’alchimie, le plaisir, ça, ça me parle. » dit-il avec un clin d’oeil. Il pouvait laisser le masque du prince charmant, autant être naturel. Cela ferait toujours plus vrai. Et plus facile à embobiner.
[/right]

(c) ANAPHORE
Lun 1 Oct - 18:32
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité
Pile je gagne, face tu perds ft Léa 1538316687-deya3
   TU BRÛLERAS ENTRE MES DOIGTS. 
s'éclipser le laisser croire qu'elle a gagnée, voilà un jeu auquel la douce aimait jouer. ne pas se faire avoir, continuer de laisser croire, toujours laisser une fausse longueur d'avance pour mener la dance. voilà qu'elle s'en amuse la petite, voilà qu'elle laisse croire à son père qu'elle est naïve. il le sait pourtant que sa fille ne se laissera aucunement faire par un regard brûlant. aucun homme, disait-il trop souvent, aucun homme ne devait l'approcher de trop prêt de peur de se prendre une balle dans le pied. voilà la raison pour lequel jouer était si simple; car si un homme désirait l'avoir il devrait passer par un interrogatoire et malheureusement pour eux aucun n'avait eu grasse aux yeux de mateo. trop difficile, trop impulsif pour laisser son unique fille se faire avoir par le premier abrutit ayant persuadé dans un regard qu'elle était tout pour lui. mentir, toujours, fuir encore plus. voilà l'unique raison de son jeu, elle le savait il ne l'atteindrait jamais et son père au grand jamais ne signerait le moindre papier si le jeune homme toucher de trop prêt à la petite poupée. le tenter, le faire craquer lui montrer que sous ces airs de gamine, la belle avait plus d'un atout à offrir. elle avait fait volte face et il l'avait ignorer une bonne partie de la soirée qui, il faut l'avouer ne l'avait aucunement dérangée. pourtant tenace qu'il est il revient à la charge en parlant de douce danse amicale comme pour payer son prêt. mateo ne refusa guère, qu'est-ce que quelques pas partager quand sa vie pouvait être menacer. alors il laissa deyan lui prendre le bras alors qu'elle n'en avait aucune envie, mais, ça il ne le vit pas. là voilà debout au centre de la salle se laissant prendre dans les bras du vautour assoiffé de sa carcasse. « J'ai bien l'impression que ton père et moi, on s'entend plutôt bien. Peut-être que j'ai de l'importance après tout. » foutaise. mateo n'aime personne, surement grâce à cela que l'affaire familiale marche aussi bien. ne faire confiance à personne. mais, autant lui feindre le contraire, juste pour le mettre en confiance pour lui laisser une chance. « tu apprendras vite qu'il y a différente importance quand on parle de mon père » l'homme à abattre, l'homme à torturer, l'homme à ignorer. voilà les trois catégories avec lequel mateo apprécier jouer. et malheureusement pour deyan entre ses mains se trouvait la poupée désireuse de le mener au déclin. « Donc, si je comprends bien. Notre première rencontre était un hasard. Et c'est le destin qui nous réunit ce soir. » elle eut un petit sourire, comme si la douce se laisser charmer comme si entre ses mains, elle se sentait importante, comme si le destin avait ENFIN décidé de mettre sur son chemin un homme important, un homme pouvant convenir à son père du moins un temps. mensonge. « Je crois pas au destin, princesse. Mais l'alchimie, le plaisir, ça, ça me parle. » sa main avait doucement glissé vers son arrière train, révélant ses intentions, craquant doucement pour les charmes et les formes de la jeune femme entre ses mains. parfait, voilà ce qu'elle attendait et elle allait pouvoir s'en amuser. elle ne réagit pas à son geste, comme si celui-ci pouvait être appréciable, alors qu'il ne l'était guère. puis elle se colla un peu plus à lui comme pour éviter qu'on ne les entende. « je ne suis pas chose facile à avoir deyan, surtout quand les yeux de mon père observent chaque mouvement de ton corps contre le mien » elle lui avait susurrée ses mots à l'oreille avant de venir effleurer celle-ci de ses lèvres. elle recula un instant juste pour reprendre un peu de souffle mais gardant une certaine distance pour que son souffle continue inlassablement de caresser sa peau. « et sache une chose, mon père ne t'offrira rien si je n'ai pas donnée mon accord » elle venait de placer son pion dans la partie, elle était la reine qui mangerait le roi, et qui ne laisserait passer aucun pion. oui son père l'avait mise en jeu sur le dossier olson, sachant pertinemment que ce n'était pas forcement une bonne affaire. alors il la laissait s'amuser, traiter à sa place, et s'amuser un peu. quoi de plus divertissant de jouer avec l'argent et les nerfs d'un pauvre amant.
Lun 1 Oct - 21:44
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: